La terre se meurt, nous le savons et nous le nions

La terre se meurt, et nous aussi. L’apathie de l’Homme face à la problématique du changement climatique est le symptôme d’un déni meurtrier et coupable.

Protester contre l’apathie

Je ne saurais poursuivre sans prendre le risque trop grand d’une répétition stérile. Il est temps de conclure. J’accuse l’Homme de refuser d’accepter les conséquences de ses propres actes et de continuer d’agir comme si la menace qui pèse sur lui n’était qu’une lointaine chimère.

J’accuse les hommes de poursuivre méthodiquement la destruction de leur environnement et de leur espèce.

J’accuse les hommes de se cacher derrière le voile d’une prétendue impuissance alors qu’ils disposent, à l’inverse d’autres espèces, d’intelligence et de capacité d’agir.

J’accuse les hommes, ici et ailleurs, de choisir des dirigeants qui poursuivront l’iniquité comme une vertu et les enfumeront pour qu’ils se voient moins mourir.

La terre se meurt, et nous aussi. Il faudrait être fou pour espérer que la rédaction de ces quelques lignes change quoi que ce soit à cet état de fait. Mais elles expriment la protestation la plus vive contre l’apathie ambiante et l’idée malvenue que nous n’y pouvons rien.

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